femme qui court et court
qui cherche et trouve
— et s'ouvre
Aux heures
creuses de la nuit
son corps
cherche la cécité
son regard de fer
cisaille l’effort du monde
son coeur s’amourache
de l’appétit
sa course
folle pénètre la distance
Douce intervalle entre la nuit et le jour
En nocturne
continu, l’aube s’affaiblit en silence
lequel est pourtant revigoré par la lumière du monde
qui ouvre à l’aube
de l’autre monde
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