Peut-on trop aimer un auteur - ou plutôt, trop le vénérer? Quand on ne peut pas s'en détacher, qu'on le site dans une pièce, essaie d'articuler notre pensée autour de ces mots, j'imagine que oui. Troublant constat hier soir avec cette lecture de ce que l'on a nommé pièce, mais qui en fait n'était qu'une brûlante déclaration d'amour.
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