J'extrais de ton billet précédent cette phrase, que j'aime : « La consolation plutôt que la blessure. » Je serais incapable, dans une prochaine vie, de choisir entre la musique et la littérature. Comme dans cette vie-ci, je laisserais la vie choisir pour moi, c'est elle qui a le dernier mot — ou la dernière note!
Au final, je crois que la musique fait plus mal; et le plus grand bien. Mon rapport à la musique est tout sauf apollinien, c'est un couteau que l'on tourne dans la plaie. Simultanément ce plongeon donne des ailes à ma gratitude, notamment celle d'être musicien.
Être musicienne, c'est être fée, écrivait Sully Prud'homme.
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