dimanche 7 juin 2015

De la fin de semaine sans ordinateur

Ah! ma chère, que de pause à la frénésie nocturne, à cause du Grand Prix, mais aussi du plaisir de prendre congé de l'ordinateur. De retour après un peu moins de 48 heures sans taper de mots. J'ai profité du soleil sur la terrasse du café pour noircir quelques pages dans  mon moleskine. 

Tant de trucs à partager que je ne sais par où commencer. Il me faudra deux, trois peut-être quatre jours avant de réussir à communiquer, à traduire tout ce que tes plus récents billets évoquent pour moi. J'y reviendrai assurément. 

 Au delà du gain et de la perte, il y a le franc jeu, le goût du risque, la vitalité et  l’action. Le gain rejoint toujours le poème du je suis là où je dois être.

Lu hier soir Silence, nouvelle d’Alice Munro tirée du recueil Fugitives (en traduction française chez Boréal). Texte excellent qui me donne l’envie d’écrire de la nouvelle, ce qui n’est pas rien. Son seul défaut est l’apparition, à un moment soudain, de plusieurs personnages, quelques-uns d’entre eux n’étant pas absolument nécessaires, dont on ne garde aucun souvenir. Mais les fictions qui mettent en scène une mère et sa fille peuvent être inoubliables; il s’en fallut peu pour que ce fût le cas ici.


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