Terminé de jaser avec Chris , mon neveu, au téléphone.
Parlé du style en musique et en art, de la nécessité de répéter, de revenir constamment aux bases de son instrument, de se nourrir quotidiennement des oeuvres de nos génies, anciens et contemporains.
Jusqu’à ce que l'on devienne son propre idole.
L’hiver porte en lui – en nous – son
pesant de solitude utile. L’on doit intervenir en poésie à l’apparition de son
incandescence, autrement on passe à côté de l’Aube.
C’est lorsque l’anxiété
apparait que culminent en rafale des millions de choses à écrire, à dire, à
formuler. Et l’on réalise douloureusement que la présence d’autrui, même de la
plus haute qualité, ne suffit pas.
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